Les statistiques secrètes de la vaccination

(02 mai 2014 , Michel Dogna, Alternative santé)

Alors que plus de 300 nouveaux vaccins sont encore dans les tiroirs de l’industrie pharmaceutique et que l’OMS promet déjà dans son Plan d’Action Mondial pour les vaccins 2011-2020, que « le présent siècle sera celui des vaccins » , il apparaît légitime de résister avec force à ces pressions car les statistiques secrètes des vaccinations montrent que la vaccination n'est pas aussi merveilleuse qu'on ne le croit.

L’OMS est revenue à la charge du 22 au 26 avril avec sa 10ème session de propagande vaccinale dont le thème était cette année : « la vaccination tout au long de la vie ».

Comment se fait-il qu’il n’y ait qu’une seule journée mondiale de l’eau le 22 mars (plus d’un milliard de personnes dans le monde n’ont toujours pas accès à l’eau potable) et  une seule journée mondiale de la faim le 15 juin alors qu’il y a TOUTE UNE SEMAINE pour la vaccination ? A croire que se nourrir est moins important pour la santé que d’être vacciné !

L’allongement des calendriers vaccinaux s’est accompagné dans tous les pays du monde de pressions croissantes, de chantages, de harcèlements, de culpabilisations en tous genres. Pourtant cette stratégie de bourrage de crâne semble porter de moins en moins ses fruits dans les pays industrialisés où les ventes de vaccins et les taux de vaccination baissent sans cesse et où les parents s’informent de plus en plus.

Alors, pour justifier toutes ses initiatives, l’OMS brandit systématiquement des chiffres (invérifiables), selon lesquels 2 à 3 millions de vies seraient sauvées chaque année par la vaccination. Notez que cela fait,  sur 7 milliards d’individus seulement 0,04% soit 4 pour 10 000 c'est-à-dire PEANUTS !

Cependant, des études sérieuses ont montré que la mortalité infantile est plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus, et une étude publiée dans le  British Medical Journal a montré que des bébés filles africains, même mal nourris, ont trois fois plus de chance de survie que les bébés filles africains vaccinés et bien nourris. Les enquêtes qui ont comparé des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés (0 vaccins) ont toutes montré de façon convergente que  la santé des enfants non vaccinés était globalement bien meilleure que celle des enfants vaccinés(moins d’asthme, d’autisme, de diabète, d’infections ORL, de consommation d’antibiotiques, de visites médicales).

QUELQUES CHIFFRES-CLÉS EN MATIERE DE VACCINATION :

Plus de 3 milliards de dollars : c’est le montant déjà payé par les autorités américaines aux  victimes de vaccins depuis 1986 (alors que 2/3 des plaintes sont rejetées d’emblée).

1 à 10% : c’est le taux d’effets secondaires graves qui est officiellement recensé selon les aveux des revues médicales officielles (comme la Revue du Praticien), alors que 90 à 99% d’entre eux sont laissés dans l’ombre !

33% : c’est le pourcentage des revenus annuels qui découlent en moyenne de l’acte vaccinal pour les pédiatres français, selon un rapport de la Cour des Comptes française d’octobre 2012 (sans compter les effets secondaires pourvoyeurs de nouvelles consultations !).

12,6% : c’est le pourcentage des revenus annuels qui découlent en moyenne de l’acte vaccinal pour les généralistes français selon un rapport de la Cour des Comptes française d’octobre 2012.

 

825 : c’est le nombre d’effets secondaires possibles, pouvant affecter tous les systèmes du corps, qui sont listés par GSK dans le document CONFIDENTIEL sur son vaccin Infanrix hexa.

1/50 : c’est le taux d’autisme actuellement chez les enfants aux USA; il était de 1 sur 25 000 dans les années 70, de 1 sur 2500 dans les années 80 et de 1 sur 250 dans les années 90.

49 : c’est le nombre de doses de 14 vaccins que les Américains ont reçu une fois atteint l’âge de 6 ans, contre 36 doses de 10 vaccins administrés aux enfants belges jusqu’à leurs 6 ans.

21% : c’est le pourcentage des enfants américains (qui sont aussi les plus vaccinés du monde) qui souffrent de handicaps mentaux et neurologiques à des degrés divers et + de 50% d’entre eux souffrent de maladies chroniques !

22 : c’est le nombre d’études scientifiques qui plaident en faveur d’une relation entre vaccins et autisme (il n’y a donc pas eu que la seule étude controversée du Dr Wakefield dont les résultats avaient d’ailleurs été reproduits à 5 reprises par d’autres équipes, non contestées).

5 : c’est le nombre d’études scientifiques qui plaident en faveur d’un lien de causalité entre le vaccin anti-hépatite B et la sclérose en plaques (dont le nombre est passé d’environ 20 000 à + de 80 000 cas en France sans aucune autre explication épidémiologique possible, mise à part la grande campagne vaccinale des années 90, lors de laquelle 1 Français sur 2 a été vacciné.

4 : c’est le nombre de jours sur lesquels les effets secondaires du vaccin hépatite B ont été évalués dans les essais cliniques AVANT sa mise sur le marché, alors que 75% des effets secondaires graves des vaccins se manifestent dans un délai de 60 jours suivant une vaccination ou un rappel, selon un rapport indépendant de 2004 ayant porté sur 1000 cas d’effets secondaires de vaccins.

650 : c’est le nombre, au 14 avril dernier, de médecins français signataires (ainsi que 275 sages-femmes) d’une pétition demandant une mission parlementaire pour réévaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin anti-HPV Gardasil, actuellement proposé par la médecine scolaire des écoles néerlandophones.

34.240 : c’est le nombre d’effets secondaires rapportés aux USA avec les vaccins HPV jusque fin mars 2014 dont 162 décès, 11.428 visites aux urgences, 4.732 effets graves et 1.093 jeunes filles handicapées.

Toutes les références sont dûment vérifiables sur http://www.initiativecitoyenne.be